EN DIRECT. Attentats à Paris: trois jours de deuil national, 127 morts
Par LEXPRESS.fr , publié le , mis à jour le
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''' Des attaques ont été menées dans six lieux vendredi 13 à Paris tandis que des explosions retentissaient à l'extérieur du Stade de France. Huit terroristes présumés son
Selon nos premières informations, ils seraient au moins huit terroristes à avoir ouvert le feu ou s'être fait exploser dans plusieurs points de Paris et au stade de France.
Vendredi soir, au moins huit assaillants ont laissé Paris à feux et à sang, après s'être fait exploser ou avoir ouvert le feu aux alentours du Stade de France, pour trois d'entre eux, dans la salle du Bataclan, pour quatre autres et boulevard Voltaire pour le dernier. On sait pour le moment très peu de chose sur ces terroristes.
C'est au Stade de France, que les premiers kamikazes ont lancé leurs attaques coordonnées. Trois explosions ont retenti plaine Saint-Denis, vers 21 h 15, lors du match France-Allemagne. Leurs trois corps ont été retrouvés démembrés, près du lieu de l'explosion. C'est sur l'un de ces hommes qu'un passeport syrien aurait été retrouvé, selon BFMTV et France Info.
C'est la première attaque menée par des kamikazes sur le territoire français. La présence de ceintures explosives est inédite et laisse supposer la présence d'un artificier. « Le spécialiste en explosif est trop précieux, il ne participe jamais aux attaques. Donc il est là, quelque part... », pense l'ancien chef du service de renseignements de sécurité à la DGSE, Claude Chouet, contacté par l'AFP.
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C'est au Stade de France, que les premiers kamikazes ont lancé leurs attaques coordonnées. Trois explosions ont retenti plaine Saint-Denis, vers 21 h 15, lors du match France-Allemagne. Leurs trois corps ont été retrouvés démembrés, près du lieu de l'explosion. C'est sur l'un de ces hommes qu'un passeport syrien aurait été retrouvé, selon BFMTV et France Info.
C'est la première attaque menée par des kamikazes sur le territoire français. La présence de ceintures explosives est inédite et laisse supposer la présence d'un artificier. « Le spécialiste en explosif est trop précieux, il ne participe jamais aux attaques. Donc il est là, quelque part... », pense l'ancien chef du service de renseignements de sécurité à la DGSE, Claude Chouet, contacté par l'AFP.
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