Aurélie Filippetti
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La
ministre de la Culture, Aurélie Filippetti, s’est attirée les foudres
des internautes pour son message de soutien au journaliste Frédéric
Haziza. Un tweet qui comptait pas moins de six fautes d’orthographe.
Heureusement
que le ridicule ne tue pas. En choisissant de rendre public son message
de soutien au journaliste Frédéric Haziza, contre lequel circule une
pétition lancée par l’extrême-droite, Aurélie Filippetti a provoqué les
sarcasmes des internautes. Il aura suffi d’un tweet pour mettre le feu
aux poudres. Un tweet comportant six erreurs d’othographe et de
ponctuation, ainsi qu’une faute de syntaxe. Voici le message publié sur
le compte Twitter officiel de la ministre de la Culture: "Soutien total a
Frederic haziza dont les attaques ont des relans abjects d avant
guerre".
"Relans" ou plutôt "relents" ?
Sur à peine 140 caractères, on dénombre ainsi pas moins de six fautes : l’absence d’un trait d’union, d’une apostrophe, d'une majuscule et de plusieurs accents, ainsi qu’une énorme faute au mot "relents", orthographié "relans" dans le tweet. Mais ce n’est pas tout, puisqu’Aurélie Filippetti a également commis une faute de syntaxe. En effet, ce tweet, ou du moins la façon dont il a été tourné, nous donne l’impression que c’est Frédéric Haziza qui a s'est rendu coupable des "attaques aux relents abjets", et que la ministre apporte donc son soutien aux attaques commises par le journaliste.
"Un tweet rédigé par ses collaborateurs"
Sur Twitter, certains s’amusent à renvoyer la ministre sur les bancs de l’école en surlignant en rouge, à la manière d’un professeur, les fautes d’orthographe, décernant même une note proche du niveau de la mer à la fautive. Confrontée aux railleries de la "twittosphère", Aurélie Filippetti s’est dédouanée et a fait savoir, via un nouveau message, que le premier tweet avait été rédigé par ses collaborateurs. "Merci à tous les amoureux de la Langue Française de leur vigilance vis-à-vis de mes collaborateurs", pouvait-on lire sur son compte. Un message, rédigé par un autre ou non, qui fait plus que désordre...
"Relans" ou plutôt "relents" ?
Sur à peine 140 caractères, on dénombre ainsi pas moins de six fautes : l’absence d’un trait d’union, d’une apostrophe, d'une majuscule et de plusieurs accents, ainsi qu’une énorme faute au mot "relents", orthographié "relans" dans le tweet. Mais ce n’est pas tout, puisqu’Aurélie Filippetti a également commis une faute de syntaxe. En effet, ce tweet, ou du moins la façon dont il a été tourné, nous donne l’impression que c’est Frédéric Haziza qui a s'est rendu coupable des "attaques aux relents abjets", et que la ministre apporte donc son soutien aux attaques commises par le journaliste.
"Un tweet rédigé par ses collaborateurs"
Sur Twitter, certains s’amusent à renvoyer la ministre sur les bancs de l’école en surlignant en rouge, à la manière d’un professeur, les fautes d’orthographe, décernant même une note proche du niveau de la mer à la fautive. Confrontée aux railleries de la "twittosphère", Aurélie Filippetti s’est dédouanée et a fait savoir, via un nouveau message, que le premier tweet avait été rédigé par ses collaborateurs. "Merci à tous les amoureux de la Langue Française de leur vigilance vis-à-vis de mes collaborateurs", pouvait-on lire sur son compte. Un message, rédigé par un autre ou non, qui fait plus que désordre...
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- ENTRE AUTRE :
La scandaleuse interview de Jacques Cheminade par Frédéric Haziza
- Publié le : mercredi 26 décembre 2012
- Mots-clés : Désinformation; politique
- Commentaires : 192
- (dernier : 9 janvier 17:29 par falcao)
Déchaînement de haine à l’encontre du candidat à l’élection présidentielle Jacques Cheminade de la part du journaliste Frédéric Haziza. Mais peut-on encore parler de journalisme après que cet animateur eut déshonoré ce qu’il restait de respectabilité à un métier oscillant entre prostitution et chômage, selon la célèbre formule d’Alain Soral ?
Secondé dans son odieuse besogne par Sylvie Maligorne, Marie-Ève Malouines et Françoise Fessoz, celui qui affirma sur Radio J en 2008 : "Dans ma carrière de journaliste, j’ai toujours défendu Israël", se fit une heure durant l’agent haineux d’une horde médiatique dressée pour humilier un candidat déjà à terre dans les sondages.
"Vous ne représentez pas grand chose", "est-ce qu’il n’aurait pas acheté des parrainages, M. Cheminade ?", "La tradition des Rotschild, je vois pas ce que vous voulez dire...", "avec le nez crochu, c’est ça ?", "les banquiers juifs ?"... D’insinuations perfides en allégations calomnieuses, sans se soucier le moins du monde ni de son interlocuteur ni même de ses réponses, Frédéric Haziza montra tout son talent de petit valet servile se vautrant dans sa médiocrité, miroir de ses propres turpitudes.
C’est ainsi que les internautes, choqués par ce traitement scandaleux, avaient réagi vivement au travers de centaines de commentaires toujours consultables sur le site de la chaîne de télévision LCP.
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