Témoignage de Jean-Claude Pantel
Spécialisé
dans l'étude des phénomènes Ovnis, je me suis aussi intéressé aux
phénomènes dits "paranormaux", comme les maisons hantées, les
ectoplasmes... Je ne pensais pas que Paramormal puisse recouvrir quelque
chose de beaucoup plus mystérieux, fantastique. Jusqu'au jour où
Jean-CLaude Pantel me fut présenté, et où j'ai pu, moi-même, partager
certaines de ces aventures extraordinaires et même, je l'avoue,
incroyables !
Par mon intermédiaire, des scientifiques, physiciens ou psychiatres, ont étudié et continuent à étudier de près le cas Jean-Claude Pantel.
Mon éditeur J.M. Grandsire, spécialiste de la transcommunication et du
paranormal, ainsi qu'un physicien, ont vécu avec Jean-Claude pendant
plusieurs semaines pour constater les faits.
J.M. Grandsire a déclaré : "'Le cas Pantel constitue un fait
susceptible, à terme, de révolutionner l'étude du paranormal dans son
ensemble !"
Michel Elchim dit : "'En tant que physicien, j'ai d'abord pensé
que c'était une histoire de fous, mais après avoir vu et entendu, sur
place, des choses stupéfiantes pour un scientifique, je peux affirmer
que nous avons affaire à des énergies d'une puissance incroyable et à
une physique que nous ne maîtrisons pas". Jean de Laurentis conclut :
"En tant que psychiatre, j'estime que Jean-Claude est un être tout à
fait normal, et certainement pas délirant dans le sens médical du terme.
il est au contact d'une autre réalité qui dépasse nos concepts
scientifiques. Le nier
sans l'étudier n'est pas une démarche scientifique. Les
aventures qu'il vit et fait vivre à ses amis dépassent tout ce que l'on
peut imaginer et sortent de ce que l'on définit comme 'normal'."
Premières manifestations
Les premiers phénomènes ont commencé à se manifester en 1967. Jean-Claude avait 19 ans et travaillait à la Sécurité Sociale de Marseille. Spécialiste de la course à pieds, il s'entraînait souvent avec ses amis sur un stade local. Un jour, ils ont été bombardés par des pierres... ensuite ce furent des pièces de monnaie, des tubes de néons, des lames de rasoir. Les phénomènes se sont multipliés. Quand ils marchaient sur le trottoir des plaques d'égout se soulevaient et les suivaient à un mètre de hauteur. Des lampadaires explosaient. Puis les phénomènes finirent par se produire sur le lieu de travail, perturbant les services, ce qui entraîna très vite une mise en invalidité à vie ! Parlant de cette période, Jean-Claude déclare : "Je l'gnorais à l'époque mais ces premiers contacts allaient me conduire à une rencentre avec une forme de pensée non-humaine."
Lorsque Jean-Claude ouvrait une orange ou une pomme, il découvrait parfois avec stupéfaction, à l'intérieur du fruit, un message plié écrit à la main. Depuis plusieurs années, les messages arrivent sur les écrans de télévision, d'ordinateur s'enregistrent sur nos répondeurs de téléphone ou, plus fort encore, sur les cassettes audio de nos autoradios, chose "techniquement" impossible !
Les premiers phénomènes ont commencé à se manifester en 1967. Jean-Claude avait 19 ans et travaillait à la Sécurité Sociale de Marseille. Spécialiste de la course à pieds, il s'entraînait souvent avec ses amis sur un stade local. Un jour, ils ont été bombardés par des pierres... ensuite ce furent des pièces de monnaie, des tubes de néons, des lames de rasoir. Les phénomènes se sont multipliés. Quand ils marchaient sur le trottoir des plaques d'égout se soulevaient et les suivaient à un mètre de hauteur. Des lampadaires explosaient. Puis les phénomènes finirent par se produire sur le lieu de travail, perturbant les services, ce qui entraîna très vite une mise en invalidité à vie ! Parlant de cette période, Jean-Claude déclare : "Je l'gnorais à l'époque mais ces premiers contacts allaient me conduire à une rencentre avec une forme de pensée non-humaine."
Lorsque Jean-Claude ouvrait une orange ou une pomme, il découvrait parfois avec stupéfaction, à l'intérieur du fruit, un message plié écrit à la main. Depuis plusieurs années, les messages arrivent sur les écrans de télévision, d'ordinateur s'enregistrent sur nos répondeurs de téléphone ou, plus fort encore, sur les cassettes audio de nos autoradios, chose "techniquement" impossible !
Rencontres mystérieuses
En 1967, suite à un rendez-vous donné par un de ces messages, il rencontre, en gare de Marseille, trois jeunes hommes nous ressemblant, mais dont les gestes et le débit de parole semblaient plus lents que les nôtres. Plusieurs rencontres eurent lieu avec ces personnages puis avec d'autres, au fil des années, dans des appartements ou villas. Croyant avoir affaire à des illuminés un peu fous, Jean-Claude avait besoin d'une preuve de leurs soi-disant pouvoirs. Ceux-ci lui dirent que lors des prochains jeux olympiques, Jean Claude Killy gagnerait trois médailles d'or, son adversaire autrichien rencontrant des problèmes sur la piste. Le canular était tellement gros que JCP raconta cette histoire à ses amis. Mais plusieurs mois après, ils durent tous admettre que la "voyance" se réalisait, le plus fort étant que le champion autrichien affirma avoir été gêné sur la piste, mais cela ne fut confirmé ni par les commissaires ni par les films.
Certains commencèrent alors à prendre l'affaire Pantel au sérieux.
En 1967, suite à un rendez-vous donné par un de ces messages, il rencontre, en gare de Marseille, trois jeunes hommes nous ressemblant, mais dont les gestes et le débit de parole semblaient plus lents que les nôtres. Plusieurs rencontres eurent lieu avec ces personnages puis avec d'autres, au fil des années, dans des appartements ou villas. Croyant avoir affaire à des illuminés un peu fous, Jean-Claude avait besoin d'une preuve de leurs soi-disant pouvoirs. Ceux-ci lui dirent que lors des prochains jeux olympiques, Jean Claude Killy gagnerait trois médailles d'or, son adversaire autrichien rencontrant des problèmes sur la piste. Le canular était tellement gros que JCP raconta cette histoire à ses amis. Mais plusieurs mois après, ils durent tous admettre que la "voyance" se réalisait, le plus fort étant que le champion autrichien affirma avoir été gêné sur la piste, mais cela ne fut confirmé ni par les commissaires ni par les films.
Certains commencèrent alors à prendre l'affaire Pantel au sérieux.
Un phénomène invivable
Une vie infernale commença pour notre ami. À l'armée, il faillit passer en conseil de guerre pour détérioration de matériel militaire.
Si les roues des véhicules se détachaient sur la route, si le volant
s'envolait, rejoignant les rétroviseurs, si les chars avaient des
réactions anormales, ce ne pouvait être que de sa faute. Bref, il fut
réformé !
Puis, de retour à Marseille, ce furent les déménagements successifs, sur plaintes des voisins, excédés par les bruits de mobiliers se déplaçant toutes les nuits dans l'appartement de Jean-Claude. C'était il y a 37 ans ! Pendant toutes ces années, jusqu'à nos jours, ses amis comme lui-même durent subir des phénomènes tantôt comiques, tantôt angoissants. On ne compte plus le nombre de rochers, de pierres ou d'objets divers atterris dans les pièces sans casser aucune vitre. Il y eut l'apparition de monstres plus ou moins agressifs, dont un lacérant le corps d'un ami et le couvrant de plaies sanguinolentes. Mais parfois le fou rire gagnait nos amis, lorsque par exemple, ceux-ci ayant besoin d'essence et s'arrêtant à une station service, le pompiste n'appréciait pas de voir le plein se faire tout seul sans qu'il ne verse une seule goutte tandis que ses appareils indiquaient un débit zéro ! C'est aussi Jean-Claude se promenant sur la Canebière avec ses amis, et ceux-ci le voyant tout à coup, poussé par une force inconnue, en train de courir sur le toit des voitures, sous l'œil inquiet et effaré des conducteurs et des passants. C'est Jean-Claude, toujours dans Marseille, en plein jour se retrouvant sans chemise, sans pantalon ou sans chaussures, celles-ci marchant toutes seules devant lui. Il est même arrivé qu'un passant se retrouve avec un vêtement de Jean Claude dans les bras et vienne le lui rendre en s'excusant ! On peut toujours parler d'hallucinations collectives, mais allez dire cela au propriétaire d'un immeuble de Marseille qui dut changer toutes ses baies vitrées, celles-ci ayant été bombardées de billes d'aciers laissant des multitudes d'impacts sans rien briser. Dans ce cas bien entendu les enquêtes de la police et de l'assureur n'aboutirent à rien de concret. Jean-Claude ne pouvait qu'observer désolé mais irresponsable.
Pendant des décennies ce furent des pluies de pierres, de piles électriques, de pièces de monnaie, même de billets de banques et de toutes sortes d'objets insolites. Un jour où nous roulions sur l'autoroute avec Jean Claude, dans ma voiture, vitres fermées, nous avons été bombardés à l'intérieur par des coquillages et des noisettes ! J'ai conservé les coquillages, mais mon épouse a mangé les noisettes pendant le voyage ! Il y a trois ans, en roulant au milieu des vignobles, toujours vitres fermées, une magnifique grappe de raisins en plastique est apparue subitement sur mon tableau de bord ; elle y est toujours. Nous conservons tout, bien sûr, de ces "souvenirs paranormaux".
Bille d'acier matérialisée sur le clavier de mon portable lors d'une visite chez Jean-Claude Pantel. ->
Puis, de retour à Marseille, ce furent les déménagements successifs, sur plaintes des voisins, excédés par les bruits de mobiliers se déplaçant toutes les nuits dans l'appartement de Jean-Claude. C'était il y a 37 ans ! Pendant toutes ces années, jusqu'à nos jours, ses amis comme lui-même durent subir des phénomènes tantôt comiques, tantôt angoissants. On ne compte plus le nombre de rochers, de pierres ou d'objets divers atterris dans les pièces sans casser aucune vitre. Il y eut l'apparition de monstres plus ou moins agressifs, dont un lacérant le corps d'un ami et le couvrant de plaies sanguinolentes. Mais parfois le fou rire gagnait nos amis, lorsque par exemple, ceux-ci ayant besoin d'essence et s'arrêtant à une station service, le pompiste n'appréciait pas de voir le plein se faire tout seul sans qu'il ne verse une seule goutte tandis que ses appareils indiquaient un débit zéro ! C'est aussi Jean-Claude se promenant sur la Canebière avec ses amis, et ceux-ci le voyant tout à coup, poussé par une force inconnue, en train de courir sur le toit des voitures, sous l'œil inquiet et effaré des conducteurs et des passants. C'est Jean-Claude, toujours dans Marseille, en plein jour se retrouvant sans chemise, sans pantalon ou sans chaussures, celles-ci marchant toutes seules devant lui. Il est même arrivé qu'un passant se retrouve avec un vêtement de Jean Claude dans les bras et vienne le lui rendre en s'excusant ! On peut toujours parler d'hallucinations collectives, mais allez dire cela au propriétaire d'un immeuble de Marseille qui dut changer toutes ses baies vitrées, celles-ci ayant été bombardées de billes d'aciers laissant des multitudes d'impacts sans rien briser. Dans ce cas bien entendu les enquêtes de la police et de l'assureur n'aboutirent à rien de concret. Jean-Claude ne pouvait qu'observer désolé mais irresponsable.
Pendant des décennies ce furent des pluies de pierres, de piles électriques, de pièces de monnaie, même de billets de banques et de toutes sortes d'objets insolites. Un jour où nous roulions sur l'autoroute avec Jean Claude, dans ma voiture, vitres fermées, nous avons été bombardés à l'intérieur par des coquillages et des noisettes ! J'ai conservé les coquillages, mais mon épouse a mangé les noisettes pendant le voyage ! Il y a trois ans, en roulant au milieu des vignobles, toujours vitres fermées, une magnifique grappe de raisins en plastique est apparue subitement sur mon tableau de bord ; elle y est toujours. Nous conservons tout, bien sûr, de ces "souvenirs paranormaux".
Bille d'acier matérialisée sur le clavier de mon portable lors d'une visite chez Jean-Claude Pantel. ->
Des voix étranges
Mais venons-en à l'essentiel : après quelques années, des voix ont été entendues par Jean-Claude et ses amis. Cela continue de nos jours. Je les ai entendues, c'est impressionnant. (Ndlr Vous pourrez écouter un extrait d'une conversation de ]eanClaude Pantel avec une des entités sur le cédérom de TOP SECRET). Elles sortent des murs, des plafonds ou de l'espace quand l'on se trouve à l'extérieur. Jean Claude est le seul à pouvoir dialoguer avec ces voix. Il pose des questions, il obtient immédiatement la réponse. Tout est enregistré sur son magnétophone de poche, ou s'il y a impossibilité, l'enregistrement se fait automatiquement sur nos répondeurs téléphoniques, s'inscrit sur nos téléviseurs ou ordinateurs, ou les dialogues et messages arrivent imprimés sur une feuille de papier. Deux sont ainsi arrivés la semaine dernière sur la table du salon. Le contenu des textes est passionnant mais il faut une certaine habitude pour les comprendre. Nous possédons des dizaines de CD et cassettes audio et des centaines de feuillets. Les voix ont été étudiées par des spécialistes qui semblent avoir du mal à se mettre d'accord.
Si Jean-Claude Pantel vivait seul cette aventure, personne n'y croirait, mais il y a toujours des témoins différents, car il est très entouré. Le voir assis dans un gros fauteuil en cuir en train de téléphoner est chose banale. Sauf quand le fauteuil est en équilibre sur le sommet du toit de la maison. Ce fait s'est produit plusieurs fois. Inutile de vous dire les problèmes créés pour aller le récupérer là-haut. Voir Jean-Claude disparaître de sa chaise devant vous, le voir se volatiliser et réapparaître une ou trois heures plus tard, en traversant les murs ou les portes, comme je l'ai vu faire chez moi, et comme l'ont vu des dizaines de témoins en d'autres circonstances, au fil des années, semble relever de la science-fiction. Et pourtant c'est la réalité. Il existe des films et enregistrements fait par des témoins au-dessus de tout soupçon. Témoins souvent très sceptiques au départ. J'ai vu à mon domicile une bibliothèque pleine de livres, un billard de 600 kilos, des armoires se déplacer dans les pièces. J'ai vu toutes les ampoules électriques de la maison sortir de leur support et se balader en file indienne au plafond. J'ai vu mes tiroirs pleins de vaisselles, mes portes traverser les murs et se retrouver au fond du jardin. Un scientifique présent a été témoin des faits et a constaté la chaleur émanant des gonds.
Il faut aussi parler des multiples communications téléphoniques que nous avons avec Jean-Claude où nous sommes parfois quatre ou cinq sur la ligne à dialoguer alors que personne n'a appelé. Parfois les "voix" nous interrompent pour donner leur avis. Je sortirai un livre intitulé ''Paranormal-Sciences-Ovnis" chez JMG, dans les mois qui viennent pour raconter en détail l'aventure Jean-Claude Pantel.
Conclusion
Nous sommes là devant du Grand Paranormal. Il est dommageable pour la science que tant de scientifiques n'aient pas la patience, le temps ou la volonté d'étudier sur une longue période ce cas exceptionnel que nous avons en France, à portée de la main. Dans un message de ces "êtres" invisibles, il est dit que Jean-Claude est un "hybride" ; je ne sais pas exactement ce qu'ils veulent dire, mais si c'est le cas, il serait peut-être plus intelligent de s'y intéresser, plutôt que d'affirmer sans preuve qu'il s'agit d'un canular. Un jour chez J-C., après dématérialisation, ma pipe est réapparue encastrée dans un bloc de glace. (en haut). La pipe telle que nous l'avons retrouvée, enchassée dans la glace. (en bas).
Nous, ses amis, médecin, psychologue, psychiatre, physicien, avocat, magistrat, musicien, artiste, boulanger infirmier, fonctionnaire et autres, sommes des témoins conscients du privilège de pouvoir parler du Paranormal en connaissance de cause et non simplement par des études livresques. En ce qui me concerne, je suis bien conscient que ce Paranormal exceptionnel auquel nous avons accès n'est certainement que du "Normal" que nous ne comprenons pas dans l'état actuel de nos connaissances. Qu'il fasse partie d'une autre réalité qui nous dépasse n'est pas une raison pour l'ignorer. Croire ou ne pas croire n'est pas une attitude scientifique. Après le doute, seules les enquêtes, l'analyse des faits, la réflexion et les hypothèses ont quelques valeurs, même si elles sont discordantes. En sachant que dans ce domaine, comme c'est le cas pour le phénomène OVNIS, rien n'est reproductible à volonté. De très grands savants, dans le passé, se sont heurtés à ce dilemme, et pourtant l'avenir a prouvé que leurs théories ou hypothèses étaient justes !
Mais venons-en à l'essentiel : après quelques années, des voix ont été entendues par Jean-Claude et ses amis. Cela continue de nos jours. Je les ai entendues, c'est impressionnant. (Ndlr Vous pourrez écouter un extrait d'une conversation de ]eanClaude Pantel avec une des entités sur le cédérom de TOP SECRET). Elles sortent des murs, des plafonds ou de l'espace quand l'on se trouve à l'extérieur. Jean Claude est le seul à pouvoir dialoguer avec ces voix. Il pose des questions, il obtient immédiatement la réponse. Tout est enregistré sur son magnétophone de poche, ou s'il y a impossibilité, l'enregistrement se fait automatiquement sur nos répondeurs téléphoniques, s'inscrit sur nos téléviseurs ou ordinateurs, ou les dialogues et messages arrivent imprimés sur une feuille de papier. Deux sont ainsi arrivés la semaine dernière sur la table du salon. Le contenu des textes est passionnant mais il faut une certaine habitude pour les comprendre. Nous possédons des dizaines de CD et cassettes audio et des centaines de feuillets. Les voix ont été étudiées par des spécialistes qui semblent avoir du mal à se mettre d'accord.
Si Jean-Claude Pantel vivait seul cette aventure, personne n'y croirait, mais il y a toujours des témoins différents, car il est très entouré. Le voir assis dans un gros fauteuil en cuir en train de téléphoner est chose banale. Sauf quand le fauteuil est en équilibre sur le sommet du toit de la maison. Ce fait s'est produit plusieurs fois. Inutile de vous dire les problèmes créés pour aller le récupérer là-haut. Voir Jean-Claude disparaître de sa chaise devant vous, le voir se volatiliser et réapparaître une ou trois heures plus tard, en traversant les murs ou les portes, comme je l'ai vu faire chez moi, et comme l'ont vu des dizaines de témoins en d'autres circonstances, au fil des années, semble relever de la science-fiction. Et pourtant c'est la réalité. Il existe des films et enregistrements fait par des témoins au-dessus de tout soupçon. Témoins souvent très sceptiques au départ. J'ai vu à mon domicile une bibliothèque pleine de livres, un billard de 600 kilos, des armoires se déplacer dans les pièces. J'ai vu toutes les ampoules électriques de la maison sortir de leur support et se balader en file indienne au plafond. J'ai vu mes tiroirs pleins de vaisselles, mes portes traverser les murs et se retrouver au fond du jardin. Un scientifique présent a été témoin des faits et a constaté la chaleur émanant des gonds.
Il faut aussi parler des multiples communications téléphoniques que nous avons avec Jean-Claude où nous sommes parfois quatre ou cinq sur la ligne à dialoguer alors que personne n'a appelé. Parfois les "voix" nous interrompent pour donner leur avis. Je sortirai un livre intitulé ''Paranormal-Sciences-Ovnis" chez JMG, dans les mois qui viennent pour raconter en détail l'aventure Jean-Claude Pantel.
Conclusion
Nous sommes là devant du Grand Paranormal. Il est dommageable pour la science que tant de scientifiques n'aient pas la patience, le temps ou la volonté d'étudier sur une longue période ce cas exceptionnel que nous avons en France, à portée de la main. Dans un message de ces "êtres" invisibles, il est dit que Jean-Claude est un "hybride" ; je ne sais pas exactement ce qu'ils veulent dire, mais si c'est le cas, il serait peut-être plus intelligent de s'y intéresser, plutôt que d'affirmer sans preuve qu'il s'agit d'un canular. Un jour chez J-C., après dématérialisation, ma pipe est réapparue encastrée dans un bloc de glace. (en haut). La pipe telle que nous l'avons retrouvée, enchassée dans la glace. (en bas).
Nous, ses amis, médecin, psychologue, psychiatre, physicien, avocat, magistrat, musicien, artiste, boulanger infirmier, fonctionnaire et autres, sommes des témoins conscients du privilège de pouvoir parler du Paranormal en connaissance de cause et non simplement par des études livresques. En ce qui me concerne, je suis bien conscient que ce Paranormal exceptionnel auquel nous avons accès n'est certainement que du "Normal" que nous ne comprenons pas dans l'état actuel de nos connaissances. Qu'il fasse partie d'une autre réalité qui nous dépasse n'est pas une raison pour l'ignorer. Croire ou ne pas croire n'est pas une attitude scientifique. Après le doute, seules les enquêtes, l'analyse des faits, la réflexion et les hypothèses ont quelques valeurs, même si elles sont discordantes. En sachant que dans ce domaine, comme c'est le cas pour le phénomène OVNIS, rien n'est reproductible à volonté. De très grands savants, dans le passé, se sont heurtés à ce dilemme, et pourtant l'avenir a prouvé que leurs théories ou hypothèses étaient justes !
Bernard Bidault : bernardbidault@free.fr
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Un attrape nigaud touristique de plus ?
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Un attrape nigaud touristique de plus ?
La Côte Qui Descend
Si
vous empruntez un jour les routes du minervois entre Carcassonne et
Béziers, restez très attentif car vous risquez de vous retrouver face a
un bien étrange curiositée, la curiosité de Lauriole.
Cette petite route perdue au
sud-ouest de l'Hérault, à l'air tout à fait quelconque. Et pourtant, il
s'y produit une effervescence anormale, une attraction incroyable.
Depuis plus de 30 ans, ce sont
des dizaines de milliers de curieux qui se sont rendus sur place. Mais
qu'est-ce qui peut rendre cette route si célèbre ?
"On l'appelle la côte qui descend
puisqu'effectivement quand on pense monter, elle descend, et quand on
pense descendre, elle monte", Sylvie Berseille, Mairie de Siran (34). La
démonstration qui va suivre a été réalisée sans trucage, avec une
voiture dans le moteur était coupé, au point mort sans conducteur.
Regardez !
"Là, la nature offre du mystère parce qu'entre l'observation et l'explication, il y a une hésitation sur le sens à donner à cette route qui monte et qui descend à la fois. C'est quelque chose de troublant, quelque chose d'étonnant et on cherche une explication", Jean-Joseph Juland, Ecrivain, professeur de géographie. Très vite, cette découverte inexpliquée fait là une des journaux locaux. Aujourd'hui, la curiosité a dépassé nos frontières car ce phénomène spectaculaire n'en finit pas d'intriguer. Pour élucider ce mystère, chacun expérimente la route à sa façon. Avec de l'eau, pour voir si elle coule bien du bon côté, avec des œufs durs, des ballons, des boules de pétanque... Il y a des gens qui sont même venus avec des géomètres pour essayer de mesurer, de trouver des côtes, de voir pourquoi il y a cet effet effet de monter, de descente. Apparemment, ça n'a jamais été résolu. D'innombrables hypothèses ont été avancées : perturbation du champ magnétique, influence d'une ligne à haute tension, sorcellerie, et même intervention extraterrestre. "Il y a là une piste qu'on a pu prendre pour extraterrestre qui aurait détruit le manteau magnétique au point que les objets eux-mêmes ne savent plus se qu'ils font. C'est l'explication la plus hardie, la plus irrationnelle. La vue, on lui fait confiance, toujours. On a vu des choses, on est capable de les affirmer parce qu'on les a vus. Et là vous allez devant la route de Lauriole, vous avez vu qu'elle montait, vous affirmez elle monte... Et là, eh bien c'est un petit piège qui nous attend", Jean-Joseph Juland.
Mais à leur illusion d'optique
ou phénomène surnaturel ? Les avis restent partagés car sur place les
témoins sont formels. "On nous dit c'est un effet d'optique, mais il n'y
a pas d'effet d'optique. La voiture, on a arrêté le moteur, et elle
roule seule en arrière, et là on a passé la marche avant et la voiture
recule quand même". Alors route qui monte, ou côte qui descend ? "Il y a
des choses qu'on peut expliquer et des choses qu'on ne peut pas
expliquer. Nous vivons dans l'incertitude lorsque nous voulons bien y
regarder d'assez près", Jean-Joseph "Là, la nature offre du mystère parce qu'entre l'observation et l'explication, il y a une hésitation sur le sens à donner à cette route qui monte et qui descend à la fois. C'est quelque chose de troublant, quelque chose d'étonnant et on cherche une explication", Jean-Joseph Juland, Ecrivain, professeur de géographie. Très vite, cette découverte inexpliquée fait là une des journaux locaux. Aujourd'hui, la curiosité a dépassé nos frontières car ce phénomène spectaculaire n'en finit pas d'intriguer. Pour élucider ce mystère, chacun expérimente la route à sa façon. Avec de l'eau, pour voir si elle coule bien du bon côté, avec des œufs durs, des ballons, des boules de pétanque... Il y a des gens qui sont même venus avec des géomètres pour essayer de mesurer, de trouver des côtes, de voir pourquoi il y a cet effet effet de monter, de descente. Apparemment, ça n'a jamais été résolu. D'innombrables hypothèses ont été avancées : perturbation du champ magnétique, influence d'une ligne à haute tension, sorcellerie, et même intervention extraterrestre. "Il y a là une piste qu'on a pu prendre pour extraterrestre qui aurait détruit le manteau magnétique au point que les objets eux-mêmes ne savent plus se qu'ils font. C'est l'explication la plus hardie, la plus irrationnelle. La vue, on lui fait confiance, toujours. On a vu des choses, on est capable de les affirmer parce qu'on les a vus. Et là vous allez devant la route de Lauriole, vous avez vu qu'elle montait, vous affirmez elle monte... Et là, eh bien c'est un petit piège qui nous attend", Jean-Joseph Juland.
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La Terre Creuse
Le 19 Février 1947,
l'explorateur américain, l'Amiral Richard Byrd de la Navy américaine,
s'envole pour le pôle Sud. On dit qu'à son retour, il écrivit ce qu'il
avait vécu. Pour les théoriciens, les notes de Byrd représentaient la
preuve qu'il avait trouvé l'entrée du Centre de la Terre...
Le livre "Les mondes au-delà des
Pôles" de Amadeo Giannini et "La Terre creuse" par le docteur Raymond
Bernard - déclarant que Byrd aurait en fait volé, non pas au-dessus des
pôles Nord et Sud, mais à l'intérieur des grandes cavités qui mènent à
l'intérieur de la Terre. D'après Giannini, Bernard et Palmer, Byrd
annonça en Février 1947, avant un vol supposé à 2750 km (1700 miles)
au-delà du Pôle Sud : J'aimerai voir cette terre au-delà du pôle. Cette
région au-delà du Pôle est le centre du Grand Inconnu. Giannini, Bernard
et Palmer déclarent également que, lors du vol supposé de Byrd
au-dessus du Pôle Sud en Février 1947, celui-ci rapporta par radio qu'il
vit en-dessous de lui non pas de la glace et de la neige, mais des
zones de terre constituées de montagnes, forêts, végétation verdoyante,
lacs et rivers et, dans la broussaille, un animal étrange qui
ressemblait à un mammouth.
La théorie de la Terre Creuse,
consiste à dire que le centre de la terre est un espace vide, et que des
gens ou des créatures peuples cette zone. Ces êtres sont à l'origine
des histoires de trolls. Il y aurait un réseau de tunnels et de grottes
qui forment les veines de la Terre, et l'entrée serait en Antarctique,
au pôle Sud. Cependant, il paraîtrait que la législation américaine
interdit à tout citoyen d'explorer ces grottes afin que le centre de la
Terre ne soit jamais atteind...
PLANÈTE CHOC - Les Théories Du Complot > Les Zones Top Secret
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Terre creuse : Un Trou au Pôle ?
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À force de
vouloir nous montrer l'effondrement de la calotte glacière en arctique,
pour que rentre dans nos têtes "creuses" l'idée du réchauffement
climatique, les responsables des images satellites du pôle nord vont
finir par nous montrer le véritable trou polaire.
Voyez plutôt ces trois clichés passés sur la chaîne LCI le 16 septembre 2007, lors d'un court reportage, en fin de journal, à 1h11 du matin. Le trou n'est pas encore visible, caché par la pastille noire habituelle, mais l'effondrement de la croûte terrestre à la bordure du trou polaire est largement apparent. S'agit-il une fois de plus d'une illusion d'optique ? À ce jour, et à ma connaissance, ce sont les trois images officielles les plus parlantes jamais diffusées. C'est assez extraordinaire, non ? En outre, cette "cassure" par endroit ressemble aux rares images de la navette (voir TSHS01). Notez au passage le bandeau bleu de la date de diffusion qui cache la véritable date du cliché.
Voyez plutôt ces trois clichés passés sur la chaîne LCI le 16 septembre 2007, lors d'un court reportage, en fin de journal, à 1h11 du matin. Le trou n'est pas encore visible, caché par la pastille noire habituelle, mais l'effondrement de la croûte terrestre à la bordure du trou polaire est largement apparent. S'agit-il une fois de plus d'une illusion d'optique ? À ce jour, et à ma connaissance, ce sont les trois images officielles les plus parlantes jamais diffusées. C'est assez extraordinaire, non ? En outre, cette "cassure" par endroit ressemble aux rares images de la navette (voir TSHS01). Notez au passage le bandeau bleu de la date de diffusion qui cache la véritable date du cliché.
LCI - TOP SECRET n°33 > Octobre/Novembre > 2007
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Complément d'informations sur la Terre Creuse
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Cher monsieur,
en complément de votre numéro Hors Série sur la Terre Creuse, voici quelques commentaires et réflexions... La carte de Mercator, créée en 1569 (->).
Il y a trois ans environ, après
avoir lu le chapitre I du livre "l'empreinte des Dieux" ; j'ai recherché
d'anciennes cartes où l'on pouvait peut-être voir le trou au pôle. Nous
sommes allés, ma compagne Lara et moi-même, à la bibliothèque de
Bordeaux et, dans un ancien livre rempli de grandes cartes remontant au
Moyen-âge, nous avons trouver une carte de Mercator présentant le trou
avec une montagne au centre et quatre fleuves se déversant dans l'Océan
Arctique.
J'ai voulu savoir sur Internet avec un ami si nous pouvions trouver autre chose d'important. Sur un site nous avons pu voir que l'armée utilise d'anciennes cartes du XVI' siècle d'Orance Fine représentant le pôle avec des terres entourant le trou, très détaillées, libres de glace avec montagnes, fleuves, etc...
Après avoir lu que l'armée utilisait ces anciennes cartes détaillées pour compléter ce que les satellites ne lisent pas sous 1500 mètres de glaces, j'ai découvert que ces cartes se trouvaient à la Bibliothèque Nationale de Paris. Lorsque j'ai voulu les voir, "top secret" s'est affiché sur l'écran.
Il faut savoir tout de même que le célèbre géographe du XVI' siècle Mercator était le disciple d'Orance Fine.
Voici la traduction du texte latin de la carte : Sur la description ci-jointe du pôle Nord :
Comme notre tableau ne pouvait être étendu jusqu'au pôle et les degrés de latitude se prolongeant indéfiniment, nous avons jugé nécessaire de reprendre ici la fin de notre description et de rattacher tout le reste au pôle. Nous avons choisi la figure qui convenait le mieux avec cette partie du monde et qui était capable de reproduire la situation et l'aspect de ces contrées comme sur une sphère. Pour ce qui est de la description, nous l'avons trouvée dans l'Itinéraire de Jacob Croyen d'Hertogenbosch (Nederland) qui cite certains des hauts faits d'Arthur de Bretagne ; mais pour l'essentiel il la tient d'un certain prêtre qui vivait chez le roi de Norvège en 1364. Il était descendant, au 4' degré, de ceux qu'Arthur avait envoyés habiter ces îles et rapportait qu'en l'an 1360, un certain mathématicien anglais d'Oxford était venu dans ces îles ; les ayant quittées et étant parti vers des terres plus lointaines, il avait tout décrit et pris les mesures au moyen d'un astrolabe comme nous l'avons trouvé dans Jacob. Il disait que l'eau de 4 détroits était entraînée avec une telle violence vers un tourbillon intérieur que des vaisseaux, une fois engagés, ne pouvaient rebrousser chemin, sous l'effet d'aucun vent ; et que d'autre part, jamais à cet endroit le vent n'était assez fort pour suffire au transport de quantités de blé (?). Giraud de Cambrai donne des indications semblables dans son livre sur les merveilles de l'Irlande. Il écrit en effet : Non loin des îles du côté du Nord, il y a dans la mer une sorte de tourbillon prodigieux vers lequel affluent et se rassemblent de toutes parts, venant de lieux reculés, tous les flots de la mer. Se déversant dans les recoins secrets de la nature, ils sont là comme engloutis dans un abîme ; et si d'aventure un navire vient à passer devant ce gouffre, il est frappé, entraîné avec une si grande violence qu'aussitôt sa puissante voracité l'aspire irrévocablement.
______________________________________________________________________
nous pouvons le lire en français cet article de mai 1899 extrait du Pearson's Magazine, et signé par Chauncy Montgomery M'Govern, c'est grâce à la personne qui nous a déjà offert les deux précédents textes concernant Tesla et à qui nous renouvelons ici nos remerciements.
J'ai voulu savoir sur Internet avec un ami si nous pouvions trouver autre chose d'important. Sur un site nous avons pu voir que l'armée utilise d'anciennes cartes du XVI' siècle d'Orance Fine représentant le pôle avec des terres entourant le trou, très détaillées, libres de glace avec montagnes, fleuves, etc...
Après avoir lu que l'armée utilisait ces anciennes cartes détaillées pour compléter ce que les satellites ne lisent pas sous 1500 mètres de glaces, j'ai découvert que ces cartes se trouvaient à la Bibliothèque Nationale de Paris. Lorsque j'ai voulu les voir, "top secret" s'est affiché sur l'écran.
Il faut savoir tout de même que le célèbre géographe du XVI' siècle Mercator était le disciple d'Orance Fine.
Voici la traduction du texte latin de la carte : Sur la description ci-jointe du pôle Nord :
Comme notre tableau ne pouvait être étendu jusqu'au pôle et les degrés de latitude se prolongeant indéfiniment, nous avons jugé nécessaire de reprendre ici la fin de notre description et de rattacher tout le reste au pôle. Nous avons choisi la figure qui convenait le mieux avec cette partie du monde et qui était capable de reproduire la situation et l'aspect de ces contrées comme sur une sphère. Pour ce qui est de la description, nous l'avons trouvée dans l'Itinéraire de Jacob Croyen d'Hertogenbosch (Nederland) qui cite certains des hauts faits d'Arthur de Bretagne ; mais pour l'essentiel il la tient d'un certain prêtre qui vivait chez le roi de Norvège en 1364. Il était descendant, au 4' degré, de ceux qu'Arthur avait envoyés habiter ces îles et rapportait qu'en l'an 1360, un certain mathématicien anglais d'Oxford était venu dans ces îles ; les ayant quittées et étant parti vers des terres plus lointaines, il avait tout décrit et pris les mesures au moyen d'un astrolabe comme nous l'avons trouvé dans Jacob. Il disait que l'eau de 4 détroits était entraînée avec une telle violence vers un tourbillon intérieur que des vaisseaux, une fois engagés, ne pouvaient rebrousser chemin, sous l'effet d'aucun vent ; et que d'autre part, jamais à cet endroit le vent n'était assez fort pour suffire au transport de quantités de blé (?). Giraud de Cambrai donne des indications semblables dans son livre sur les merveilles de l'Irlande. Il écrit en effet : Non loin des îles du côté du Nord, il y a dans la mer une sorte de tourbillon prodigieux vers lequel affluent et se rassemblent de toutes parts, venant de lieux reculés, tous les flots de la mer. Se déversant dans les recoins secrets de la nature, ils sont là comme engloutis dans un abîme ; et si d'aventure un navire vient à passer devant ce gouffre, il est frappé, entraîné avec une si grande violence qu'aussitôt sa puissante voracité l'aspire irrévocablement.
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nous pouvons le lire en français cet article de mai 1899 extrait du Pearson's Magazine, et signé par Chauncy Montgomery M'Govern, c'est grâce à la personne qui nous a déjà offert les deux précédents textes concernant Tesla et à qui nous renouvelons ici nos remerciements.
Le nouveau génie de l'Occident
Compte-rendu
d'une interview avec Tesla, le faiseur de miracles moderne, qui
exploite l'énergie solaire, qui a découvert des moyens de transmission
électrique sans fil, de transmission d'images par téléphone, qui a
inventé comment utiliser l'électricité pour fertiliser les sols et,
finalement, qui s'est montré capable de créer la lumière artificielle.
Imaginez-vous assis dans une
grande pièce bien éclairée, remplie de machines plus curieuses les unes
que les autres. Un jeune homme élancé s'avance vers vous et juste en
claquant des doigts, il fait apparaître, instantanément, une boule flamboyante
qu'il tient tranquillement dans sa main. Vous la fixez et voyez qu'elle
ne brûle pas ses doigts. Il fait rouler la boule de feu sur ses
vêtements, sur ses cheveux, dans votre giron et, pour finir, la dépose
dans une boîte en bois. Vous êtes surpris de constater que les flammes
n'ont laissé aucune trace, et vous vous frottez les yeux pour être sûr
que vous n'avez pas rêvé. Les flammes étranges ayant été éteintes aussi
miraculeusement qu'elles étaient apparues, le mince jeune homme demande à
ses assistants de fermer toutes les fenêtres. Dès lors, la pièce
devient aussi sombre que les ténèbres. Tout d'un coup, vous entendez le
jeune homme dire, avec un accent typiquement étranger : "Maintenant, mes
amis, je vais vous apporter la lumière du jour". Aussitôt dit,
aussitôt fait : tout le laboratoire est inondé d'une lumière étrange,
aussi belle que celle de la lune et aussi forte que celle de notre vieux
soleil. Vous jetez un coup d'œil sur les volets fermés, et vous
réalisez que les volets de chaque fenêtre sont fermés de manière bien
serrée et qu'aucun rayon ne les traverse. Vous avez beau chercher, vous
ne trouvez nulle part la source de cette lumière étrange.
Vous avez à peine le temps de vous émerveiller, car voilà que le jeune homme touche un bouton et que la lumière s'éteint. La pièce est une nouvelle fois plongée dans le noir, jusqu'à ce que l'accent étranger demande que les volets soient rouverts. Ensuite, on sort un animal de sa cage, on l'attache sur une estrade, on fait passer un courant électrique sur son corps et il meurt dans la seconde qui suit. Le jeune homme attire votre attention sur le fait que l'indicateur n'affiche que 1000 volts ; après avoir éloigné l'animal mort, il bondit à son tour sur l'estrade et ses assistants viennent faire passer le même courant sur lui devant des spectateurs effarés.
Un frisson vous remonte alors dans le dos, car vous voyez que l'indicateur monte lentement jusqu'à 900, puis à un millier de volts et, spontanément, vous fermez les yeux, persuadé que le jeune homme va tomber raide mort dans la minute suivante. Cependant, il ne bouge pas. L'indicateur n'arrête pas de monter... et voilà qu'il affiche 10 000 volts, puis ce sont 2 millions de volts d'électricité qui s'écoulent sur la charpente du mince jeune homme, dont aucun muscle ne bouge. À son signal, le courant est coupé, la pièce est une fois de plus dans la nuit la plus noire et, à présent, l'assistance peut voir la silhouette noire du jeune homme, aux contours bien définis avec, à l'arrière-plan, un superbe halo d'électricité formé de myriades de langues de feu électrique jaillissant de toutes parts de cette longue et mince charpente. La salle est à nouveau éclairée, et lorsque le jeune homme s'avance vers vous et vous serre la main, vous ne pouvez vous empêcher de la tordre comme font ces gens qui empoignent une batterie électrique puissante. Le jeune homme est maintenant un "câble électrique humain sous tension."
Vous avez à peine le temps de vous émerveiller, car voilà que le jeune homme touche un bouton et que la lumière s'éteint. La pièce est une nouvelle fois plongée dans le noir, jusqu'à ce que l'accent étranger demande que les volets soient rouverts. Ensuite, on sort un animal de sa cage, on l'attache sur une estrade, on fait passer un courant électrique sur son corps et il meurt dans la seconde qui suit. Le jeune homme attire votre attention sur le fait que l'indicateur n'affiche que 1000 volts ; après avoir éloigné l'animal mort, il bondit à son tour sur l'estrade et ses assistants viennent faire passer le même courant sur lui devant des spectateurs effarés.
Un frisson vous remonte alors dans le dos, car vous voyez que l'indicateur monte lentement jusqu'à 900, puis à un millier de volts et, spontanément, vous fermez les yeux, persuadé que le jeune homme va tomber raide mort dans la minute suivante. Cependant, il ne bouge pas. L'indicateur n'arrête pas de monter... et voilà qu'il affiche 10 000 volts, puis ce sont 2 millions de volts d'électricité qui s'écoulent sur la charpente du mince jeune homme, dont aucun muscle ne bouge. À son signal, le courant est coupé, la pièce est une fois de plus dans la nuit la plus noire et, à présent, l'assistance peut voir la silhouette noire du jeune homme, aux contours bien définis avec, à l'arrière-plan, un superbe halo d'électricité formé de myriades de langues de feu électrique jaillissant de toutes parts de cette longue et mince charpente. La salle est à nouveau éclairée, et lorsque le jeune homme s'avance vers vous et vous serre la main, vous ne pouvez vous empêcher de la tordre comme font ces gens qui empoignent une batterie électrique puissante. Le jeune homme est maintenant un "câble électrique humain sous tension."
Raconter cela ou décrire un
millier d'autres exploits que réalise Tesla en un clin d'œil, ne vous
permettra jamais de vous faire une réelle idée de l'effet qu'ils ont sur
ses spectateurs. Pour en être véritablement conscient, il faut les
voir, les entendre, les ressentir dans sa chair. C'est un régal
scientifique exceptionnel, toutefois, c'est un régal destiné à quelques
personnes seulement, car le laboratoire de Tesla est verrouillé à tous
ceux qui n'ont pas reçu de carton d'invitation d'un des amis de ce génie
audacieux.
"Peuh ! ce ne sont que quelques joujoux", répond Tesla lorsque ses visiteurs commencent à verbaliser la surprise qu'il leur a procurée. "Tout cela n'est rien - cela n'a aucune valeur pour le monde scientifique. Mais venez par ici, et je vais vous montrer ce qui va révolutionner chaque entreprise, chaque foyer, dès que j'aurai fini de mettre cette chose en état de marche".
Il ouvre alors le chemin à travers une forêt de disques bizarres et de mystérieuses bobines de cuivre et d'acier, et conduit le groupe devant un mur de maçonnerie surélevé, sur lequel est placé un long cylindre de verre rempli d'eau, entouré de grands miroirs disposés en cercle. Le toit au-dessus de l'appareil est en verre, et lorsque les rayons du soleil le traversent, ils viennent taper sur les miroirs, qui opèrent comme des loupes intensifiant la chaleur des rayons, avant de les réfléchir sur le cylindre en verre.
"Voici le modèle expérimental de l'appareil avec lequel j'espère, un jour, pouvoir exploiter les rayons solaires : cet astre céleste fera marcher toutes les machines dans nos usines, fera avancer tous les trains et toutes les voitures dans nos rues, servira pour la cuisson des aliments dans nos foyers, tout comme il fournira toute la lumière dont l'homme a besoin, que ce soit le jour ou la nuit. En deux mots, il va remplacer le bois et le charbon dans leur rôle de production de force motrice, de chaleur et d'éclairage. "L'objectif de Nikola Tesla d'exploiter les rayons du soleil pour exécuter les ordres des hommes est probablement l'exploit d'ingénierie le plus hardi que personne ait jamais tenté. Cependant, l'idée est tellement géniale et le principe tellement simple, que même un collégien est capable de les comprendre. Il s'agit de concentrer l'énergie solaire sur un seul point (le cylindre en verre) grâce à tout un ensemble complexe de miroirs et de loupes, jusqu'à ce que la chaleur obtenue soit tout simplement énorme.
Cette chaleur artificielle est dirigée sur le cylindre rempli d'eau. Grâce à la présencè d'agents chimiques dans l'eau, celle-ci va très vite s'évaporer ; la vapeur passera dans un tuyau conduisant dans une autre chambre. Ici, la vapeur obtenue à partir du soleil va actionner une machine à vapeur classique, dont la puissance en chevaux sera fonction de la taille de l'appareil dans lequel le soleil produit la vapeur. La machine à vapeur a pour rôle de produire de l'électricité, qui peut être soit utilisée tout de suite, soit stockée dans des accus qui serviront les jours sans soleil.
"Peuh ! ce ne sont que quelques joujoux", répond Tesla lorsque ses visiteurs commencent à verbaliser la surprise qu'il leur a procurée. "Tout cela n'est rien - cela n'a aucune valeur pour le monde scientifique. Mais venez par ici, et je vais vous montrer ce qui va révolutionner chaque entreprise, chaque foyer, dès que j'aurai fini de mettre cette chose en état de marche".
Il ouvre alors le chemin à travers une forêt de disques bizarres et de mystérieuses bobines de cuivre et d'acier, et conduit le groupe devant un mur de maçonnerie surélevé, sur lequel est placé un long cylindre de verre rempli d'eau, entouré de grands miroirs disposés en cercle. Le toit au-dessus de l'appareil est en verre, et lorsque les rayons du soleil le traversent, ils viennent taper sur les miroirs, qui opèrent comme des loupes intensifiant la chaleur des rayons, avant de les réfléchir sur le cylindre en verre.
"Voici le modèle expérimental de l'appareil avec lequel j'espère, un jour, pouvoir exploiter les rayons solaires : cet astre céleste fera marcher toutes les machines dans nos usines, fera avancer tous les trains et toutes les voitures dans nos rues, servira pour la cuisson des aliments dans nos foyers, tout comme il fournira toute la lumière dont l'homme a besoin, que ce soit le jour ou la nuit. En deux mots, il va remplacer le bois et le charbon dans leur rôle de production de force motrice, de chaleur et d'éclairage. "L'objectif de Nikola Tesla d'exploiter les rayons du soleil pour exécuter les ordres des hommes est probablement l'exploit d'ingénierie le plus hardi que personne ait jamais tenté. Cependant, l'idée est tellement géniale et le principe tellement simple, que même un collégien est capable de les comprendre. Il s'agit de concentrer l'énergie solaire sur un seul point (le cylindre en verre) grâce à tout un ensemble complexe de miroirs et de loupes, jusqu'à ce que la chaleur obtenue soit tout simplement énorme.
Cette chaleur artificielle est dirigée sur le cylindre rempli d'eau. Grâce à la présencè d'agents chimiques dans l'eau, celle-ci va très vite s'évaporer ; la vapeur passera dans un tuyau conduisant dans une autre chambre. Ici, la vapeur obtenue à partir du soleil va actionner une machine à vapeur classique, dont la puissance en chevaux sera fonction de la taille de l'appareil dans lequel le soleil produit la vapeur. La machine à vapeur a pour rôle de produire de l'électricité, qui peut être soit utilisée tout de suite, soit stockée dans des accus qui serviront les jours sans soleil.
Il
faut bien comprendre que l'objectif premier de Tesla dans ce projet,
est d'éliminer l'utilisation de charbon, de bois ou de tout autre
combustible, pour la production de vapeur. Cette invention en appelle à
utiliser la vapeur sous pression produite par le soleil, et non celle
produite à partir du charbon, comme c'est le cas aujourd'hui et qui est
utilisée partout dans le monde. L'avantage de cette invention de Tesla,
c'est que les coûts de production de la vapeur pour fabriquer de
l'électricité pour faire marcher, par exemple, une centaine de tramways,
seraient infiniment plus bas que le prix du charbon nécessaire à
fournir l'énergie pour réaliser ce même travail. Dès lors que la station
solaire sera opérationnelle, les seuls frais de production de
l'électricité pour faire marcher ces 100 tramways, concerneront le
salaire des quelques ingénieurs en charge de la station solaire.
M. Tesla dit : "L'électricité sera alors devenue tellement bon marché que l'industrielle plus pauvre sera en mesure de l'utiliser comme énergie, à moindre coût qu'en utilisant la vapeur. C'est ainsi que l'électricité pourra supplanter la vapeur comme force motrice dans tous les trains et, stockée dans des accus, dans tous les bateaux. Même le citoyen le plus modeste pourra profiter de ce nouveau système de production d'électricité : car il en disposera chez lui pour la cuisine, l'éclairage et le chauffage, à moindres frais qu'avec le charbon, le bois ou le mazout". Toutefois, il n'est pas question, pour M. Tesla, de construire une seule station solaire pour fournir toute l'électricité dans le monde. Il pense plutôt que les autorités de chaque ville et village devraient construire une, voire plusieurs de ces stations avec l'argent des impôts locaux pour fournir toute leur population, au même titre qu'elles ont aujourd'hui des centrales de distribution d'eau et de gaz. Chaque usine et chaque foyer pourront alors être alimentés en électricité depuis la station la plus proche par des câbles électriques ordinaires. Chacun peut comprendre que Tesla rendra à l'humanité un immense service, lorsque cette oeuvre magistrale sera achevée. Elle résoudra, entre autres, un problème qui trotte dans la tête des scientifiques depuis longtemps, à savoir : "comme les réserves de charbon sur terre seront épuisées dans environ 1000 ans, quel sera alors notre combustible ?" Lorsque Tesla lui-même envisagea la question pour la première fois, il décida de s'investir dans un type d'invention de production d'énergie qui serait indépendante du charbon. Le projet d'exploiter les rayons solaires en sont le résultat.
M. Tesla dit : "L'électricité sera alors devenue tellement bon marché que l'industrielle plus pauvre sera en mesure de l'utiliser comme énergie, à moindre coût qu'en utilisant la vapeur. C'est ainsi que l'électricité pourra supplanter la vapeur comme force motrice dans tous les trains et, stockée dans des accus, dans tous les bateaux. Même le citoyen le plus modeste pourra profiter de ce nouveau système de production d'électricité : car il en disposera chez lui pour la cuisine, l'éclairage et le chauffage, à moindres frais qu'avec le charbon, le bois ou le mazout". Toutefois, il n'est pas question, pour M. Tesla, de construire une seule station solaire pour fournir toute l'électricité dans le monde. Il pense plutôt que les autorités de chaque ville et village devraient construire une, voire plusieurs de ces stations avec l'argent des impôts locaux pour fournir toute leur population, au même titre qu'elles ont aujourd'hui des centrales de distribution d'eau et de gaz. Chaque usine et chaque foyer pourront alors être alimentés en électricité depuis la station la plus proche par des câbles électriques ordinaires. Chacun peut comprendre que Tesla rendra à l'humanité un immense service, lorsque cette oeuvre magistrale sera achevée. Elle résoudra, entre autres, un problème qui trotte dans la tête des scientifiques depuis longtemps, à savoir : "comme les réserves de charbon sur terre seront épuisées dans environ 1000 ans, quel sera alors notre combustible ?" Lorsque Tesla lui-même envisagea la question pour la première fois, il décida de s'investir dans un type d'invention de production d'énergie qui serait indépendante du charbon. Le projet d'exploiter les rayons solaires en sont le résultat.
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