Le président a pointé les "fautes" des services ayant permis la libération de Tony Meilhon. "C'est une faute". Le président Nicolas Sarkozy a vivement condamné jeudi lors d'un déplacement à Orléans des "dysfonctionnements graves" des services de police et de la justice ayant permis la remise en liberté de Tony Meilhon, principal suspect du meurtre de la jeune Laëtitia à Pornic (Loire-Atlantique).
"Quand on laisse sortir de prison un individu comme le présumé coupable sans s'assurer qu'il sera suivi par un conseiller d'insertion, c'est une faute. Ceux qui ont couvert ou laissé faire cette faute seront sanctionnés, c'est la règle", a déclaré Nicolas Sarkozy lors d'une allocution devant des policiers et gendarmes réunis au commissariat central d'Orléans. "Quand il y a une faute qui conduit à un tel engrenage, nos compatriotes ne comprendraient pas qu'il n'y ait pas de sanction", a-t-il insisté, "il y a eu un certain nombre de dysfonctionnements côté justice et côté police (...) nous prendrons des mesures pour que les responsabilités soient assumées et que des décisions soient prises".
"Protéger la société de ces monstres"
"Notre devoir, c'est de protéger la société de ces monstres. Je dis monstre parce que je crois qu'il y a un moment où il faut employer les mots qui correspondent aux situations et ne pas se voiler la réalité", a poursuivi le chef de l'Etat en évoquant le principal suspect du meurtre de la jeune Laëtitia, Tony Meilhon, qui a déjà fait l'objet de 15 condamnations.
"Je ne crois pas à la fatalité, c'est trop facile. Le risque zéro n'existe pas, mais tout expliquer par la fatalité, c'est se réduire et se condamner à l'impuissance", a-t-il conclu.
En Réponse :
C'est ce qu'il fallait décider depuis bien longtemps pas de pitié pour les fonctionnaires verreux... qui massacrent le pays de FRance permis de construires abusifs etc comme Laetitia avec beaucoup de malheureuses victimes suite à la paresse des gens du diplome cachés dans leur bureau bien au chaud...
"Quand on laisse sortir de prison un individu comme le présumé coupable sans s'assurer qu'il sera suivi par un conseiller d'insertion, c'est une faute. Ceux qui ont couvert ou laissé faire cette faute seront sanctionnés, c'est la règle", a déclaré Nicolas Sarkozy lors d'une allocution devant des policiers et gendarmes réunis au commissariat central d'Orléans. "Quand il y a une faute qui conduit à un tel engrenage, nos compatriotes ne comprendraient pas qu'il n'y ait pas de sanction", a-t-il insisté, "il y a eu un certain nombre de dysfonctionnements côté justice et côté police (...) nous prendrons des mesures pour que les responsabilités soient assumées et que des décisions soient prises".
"Protéger la société de ces monstres"
"Notre devoir, c'est de protéger la société de ces monstres. Je dis monstre parce que je crois qu'il y a un moment où il faut employer les mots qui correspondent aux situations et ne pas se voiler la réalité", a poursuivi le chef de l'Etat en évoquant le principal suspect du meurtre de la jeune Laëtitia, Tony Meilhon, qui a déjà fait l'objet de 15 condamnations.
"Je ne crois pas à la fatalité, c'est trop facile. Le risque zéro n'existe pas, mais tout expliquer par la fatalité, c'est se réduire et se condamner à l'impuissance", a-t-il conclu.
En Réponse :
C'est ce qu'il fallait décider depuis bien longtemps pas de pitié pour les fonctionnaires verreux... qui massacrent le pays de FRance permis de construires abusifs etc comme Laetitia avec beaucoup de malheureuses victimes suite à la paresse des gens du diplome cachés dans leur bureau bien au chaud...
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