Un sénateur PS met la main à la pâte
Par Roxane Bert Capture d'écran Twitter 1 de 9 Plein écran
Il ne reste que deux jours à l'UMP pour aider à combler le "trou" de 11 millions d'euros consécutif à l'invalidation des comptes de campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy... Bildergalerie starten
Il ne reste que deux jours à l'UMP pour aider à combler le "trou" de 11 millions d'euros consécutif à l'invalidation des comptes de campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy... Ce "Sarkothon" inédit a déjà largement défrayé la chronique et ses dernières heures nous réservent des surprises à la hauteur !
Ce matin, c'est tout d'abord un don inopiné venu de gauche qui a fait le buzz : le sénateur PS et président de la région Languedoc-Roussillon, Christian Bourquin, a adressé un chèque d’un montant de 150 euros à l'UMP.
Sans doute lucide sur l'incompréhension qu'allait susciter son geste - à droite comme à gauche, Christian Bourquin a veillé à l'accompagner d'une notice explicative : il y explique défendre l’importance de la tenue de débats démocratiques entre la majorité présidentielle et l'opposition.
Pour autant, l'élu PS n'est pas né de la dernière pluie : il a veillé à inclure une clause stipulant que la ligne du parti ne devrait pas se "droitiser" au cours des débats à venir :
"Encore faut-il que votre parti ne franchisse pas certaines limites républicaines dans le cadre de ces débats prochains que j’appelle de mes vœux. Mais je sais pouvoir compter sur votre esprit républicain autant que vous pouvez aujourd’hui compter sur le mien."
Ce matin, c'est tout d'abord un don inopiné venu de gauche qui a fait le buzz : le sénateur PS et président de la région Languedoc-Roussillon, Christian Bourquin, a adressé un chèque d’un montant de 150 euros à l'UMP.
Sans doute lucide sur l'incompréhension qu'allait susciter son geste - à droite comme à gauche, Christian Bourquin a veillé à l'accompagner d'une notice explicative : il y explique défendre l’importance de la tenue de débats démocratiques entre la majorité présidentielle et l'opposition.
Pour autant, l'élu PS n'est pas né de la dernière pluie : il a veillé à inclure une clause stipulant que la ligne du parti ne devrait pas se "droitiser" au cours des débats à venir :
"Encore faut-il que votre parti ne franchisse pas certaines limites républicaines dans le cadre de ces débats prochains que j’appelle de mes vœux. Mais je sais pouvoir compter sur votre esprit républicain autant que vous pouvez aujourd’hui compter sur le mien."
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