mercredi 30 janvier 2013

L'internet truqué au service de qui on veut bien, sans plus

Il est devenu pratiquement impossible de publier des écrits tels que nous voulons-bien les présenter.
L'internet n'est plus qu'au bon service de qui on veut bien, "merci à hadopi & à sa suite"
Donc nous ne pouvons hélas faire passer l'intégrité de nos messages sur notre blogue :  VERS UN MONDE MEILLEUR.
Cette information d'impossibilité, tout à fait importante situe le traquenard dans laquelle est tombée la France d'aujourd'hui.

Débrouillez-vous avec, puisque vous l'avez voulu ainsi, allez
gueuler à PARIS : mariages pour tous !
Pour se moquer des braves gens on ne peut faire mieux. 
Pendant que la France d'en bas crève de misère ou de faim.
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Le racisme intello sévit ?  avoir fait durer ce manège tout aussi longtemps.. comme celui de l'amiante !
Une mentalité française qui veut aller faire la guerre "pour corriger" ce qui se passe dans certains pays ?
Surirradiés d'Epinal : deux médecins et un radiophysicien condamnés à 18 mois de prison ferme
Les maux des irradiés d'Epinal persistent, mais leur combat devant la justice touche à son épilogue. Sept prévenus, 448 victimes, cinq ans d'instruction et cinq semaines d'audiences. L'épais dossier du plus grave accident de radiothérapie survenu en France s'est refermé mercredi 30 janvier.
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Comment ça se passe en gestion socialiste tant en Grèce qu'en Espagne voici :

Rumeurs, manipulations et dangers
Y C, rédacteur de Vos Finances Souvenez-vous : en 2010, le gouvernement grec annonçait qu'à l'horizon 2012 son déficit budgétaire serait réduit à 2,8% (le chiffre qui nous sera dévoilé prochainement sera de l'ordre de 7%). Toujours en 2010, la Grèce a reçu un prêt de 30 milliards d'euros puis a bénéficié d'un plan d'aide sur 3 ans de 110 milliards d'euros. En 2011, le prêt initialement prévu pour 4,5 ans passait à 7,5 ans. Fin 2011, la Grèce faisait faillite, les investisseurs privés abandonnant 50% de leurs créances.
En février 2012, le plan de sauvetage atteint désormais 130 milliards d'euros en échange d'une réévaluation du montant des pertes arrêté en 2011 aux dépens des investisseurs privés. Les dirigeants européens arrêtent un pacte budgétaire. Mi-2012 s'y ajoute la décision de créer un mécanisme commun de supervision des banques. Dans les faits, à la demande d'Angela Merkel qui doit affronter des élections en 2013, les échéances sont repoussées de 2013 à 2014.
Mi-2012, le gouvernement espagnol demande 39,5milliards d'euros pour assurer la recapitalisation de son secteur bancaire. Peu après, la Grèce en redemandait. Echéance électorale allemande oblige, les pays européens refusaient de faire appel une fois de plus aux contribuables. Dans les faits c'est une nouvelle faillite de la Grèce. Quelques semaines plus tard, c'est l'annonce du "succès" du programme de rachat de sa dette par la Grèce – avec de l'argent emprunté à l'UE – réduisant celle-ci de 20 milliards d'euros (dans les faits c'est un échec : rachetée à 35% du nominal, il manque 450 millions d'euros). Les Grecs se voient aujourd'hui octroyer un nouveau prêt de 34,4 milliards d'euros (en attendant 12 milliards d'euros prévus en mars 2013). Quelques semaines plus tard, les banques grecques appelaient à l'aide et demandent aujourd'hui 27,5 milliards d'euros.
Bilan de 2012 : la Grèce est revenue à la case départ, l'Espagne reste empêtrée dans son immobilier, 2 millions de biens immobiliers en vente malgré une baisse des prix de 40% depuis 2007 ; selon le cabinet espagnol RR de Acuña & Asociados, une baisse supplémentaire de 30% d'ici à 2018 est probable. De l'autre côté de la Manche, les dépenses publiques du Royaume-Uni ont explosé, entraînant un nouveau creusement du déficit budgétaire. Celui-ci devrait rester de l'ordre de 6% jusqu'en 2014.
Il m'est impossible de ne pas vous parler du Japon et de son Premier ministre qui fait un retour fracassant en promettant d'user sans retenue de la planche à billets. Enfin, je gardais le meilleur pour la fin : les Etats-Unis. Ceux-ci seraient en train de retrouver le chemin de la croissance. L'immobilier y serait en pleine renaissance. D'ailleurs la Réserve fédérale a annoncé qu'elle se porterait désormais acquéreuse de dettes hypothécaires (achat pour 40 milliards de dollars par mois jusqu'à ce que le marché de l'emploi s'améliore !).
Le bilan de la Fed approche maintenant 3 000 milliards de dollars soit 20% du PIB américain ; celui de la BoE pèse 27% du PIB britannique ; ceux de la BCE et de la BoJ approchent 35% des PIB de la Zone euro et du Japon.

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