samedi 4 décembre 2010

M. Bernard Gonel notre leader politique vous informe sur internet : un Soutien qualifié du Web

L'indifférence des syndicats envers les retraités


Je suis, en ce moment, particulièrement remonté contre les syndicats. Bien sûr, ce qui me scandalise, ce n'est pas qu'ils demandent des mesures pour préserver l'emploi et augmenter le pouvoir d'achat. Ça, ça me semble pleinement justifié. Mais quand ils parlent pouvoir d'achat, on ne les entend toujours parler que des seuls salaires. Comme d'habitude, pas un mot sur les ridicules petites retraites (et là, je ne parle pas uniquement du "minimum vieillesse").



Récemment, j'entendais un leader syndical demander comment on peut vivre à moins de 1200 euros par mois. Eh bien, puisqu'il semble préoccupé par le sujet, j'aimerais qu'il me dise ce qu'il pense de devoir vivre avec moins de 850 euros par mois (c'est ce que j'ai pour vivre), ou encore mieux, avec moins de 500 euros par mois (c'est le chiffre autour duquel tournent les minimas sociaux). Pourtant, on ne les entend formuler aucune revendication en faveur de ceux qui doivent vivre, ou plutôt survivre, avec des revenus aussi ridicules que scandaleux !!!



Que ce gouvernement et ce président soient indifférents au sort des plus pauvres n'a rien de très surprenant. Depuis toujours, on voit bien que la droite semble n'avoir d'autre ambition que de servir fidèlement le MEDEF. Que les partis de gauche ne s'expriment pas d'avantage sur ce point est déjà plus troublant. Mais alors, que les syndicats restent silencieux sur le sujet, c'est tout simplement ignoble !!!



Toute ma vie, j'ai été militant et au syndicat, on m'a beaucoup parlé solidarité. Je me suis donc battu pour défendre l'intérêt de tous. Mais si j'avais su qu'une fois à la retraite, cette solidarité, dont on m'avait tant parlé, je ne pourrai plus compter dessus, j'aurais économisé mes cotisations syndicales, mon temps et mon énergie.



La vraie solidarité, ce n'est pas défendre seulement telle ou telle catégorie, c'est défendre l'intérêt général et c'est, par définition, basé sur la réciprocité. Donc, ou bien on demande l'augmentation du pouvoir d'achat pour tous (pour tous, messieurs les représentants syndicaux), ou bien, si on veut rester dans le catégoriel, la priorité des revendications doit bénéficier d'abord à ceux qui ont le moins (là, ce n'est même plus de moi dont je parle, mais des minimas sociaux qui en ont encore plus besoin). La solidarité, c'est ça et rien d'autre !!!



J'étais resté syndiqué après la retraite, mais là, complètement écœuré par le silence des syndicats, j'ai résilié mon adhésion et si d'autres retraités encore syndiqués me lisent, je les encourage à faire de même. En effet, à quoi bon continuer si les représentants syndicaux peuvent encore compter sur nous, alors que nous, visiblement, nous ne pouvons plus compter sur eux.



Au risque d'être déçu, je veux pourtant croire que, pour le défilé du 1er mai (dont on ne peut qu'espérer qu'il sera unitaire), on entendra enfin les représentants syndicaux s'exprimer sur tous les revenus inférieurs à 1000 euros par mois et notamment les petites retraites (et pas seulement le minimum vieillesse).









B. GONEL



Bernard GONEL  fondateur de :   Action Citoyens Solidaires 

Grâce à son talent politique B. G. s'avère être la planche de salut public
de la France d'en bas, comme on dit maintenant.

 Nos concitoyens de souche sont largement abandonnés à la misère
par des politiques infâmes aux salaires exorbitants.

Des politiques qui n'ont pas hésité à faire envahir notre pays par des millions de migrants
bien plus que notre pays ne pouvait en absorber en si peu de temps.
Ce qui présente la diabolique manigance raciste d'éliminer une certaine population
 par le biais de la misère programmée.
Après s'être associés à l'Europe financièrement alors qu'on dénonce sans relâche le sinistre
 procédé des Allemands de 14/18 à 39/45 .
Procédé qui sert dirait-on ? à camoufler le sinistre procédé actuellement en vigueur  d'acculer à la misère sans possibilité
de travailler normalement, comme cela était possible à toutes les époques précédentes.
Même dans des conditions très difficiles  mal rétribués,  nos concitoyens de souche
courageux, travailleurs, pouvaient toutefois prospérer.

Hélas c'est devenu un passé témoin, de l'indigne politique qui sévit sur la France des petits gens de notre beau pays,  où le socialo-marxisme-syndicalisé des années 1981a installé la crise à répétition automatique  de la lutte de classe à la ""mélanchonette ""  d'aujourd'hui.
 Des restos du coeur au couche-dehors, approuvés par l'Union de la Majorité Profiteuse qui fait son beurre sur les possessions de la France d'en bas, la dépouillant de ses petites Fermes  de diverses possessions commerces maisons etc aux bénéfices des nantis du coin.
 la Justice + ou -- laisse faire les profiteurs qui s'associent pour piller qui bon leur semble etc

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